La vente sans garantie légale sous la clause au risque et péril de l'acheteur est courante en immobilier, mais comporte des risques significatifs. Un récent jugement, Tremblay versus M. Perron, met en lumière ses implications au Québec. Ces jugements confirment plusieurs points importants.
D'abord, la clause informe clairement l'acheteur que l'immeuble est vendu sans garantie, même pour le vice caché. Un acheteur acceptant cette clause ne peut pas se retourner contre l'ancien propriétaire, sauf en cas de don. Cependant, les parties peuvent convenir d'exclure la garantie de vendeur immédiate, celle qui est présente, tout en préservant des recours contre les vendeurs antérieurs.
Pour les acheteurs, cette clause impose vigilance. Il est crucial de poser des questions incisives et de documenter toutes les communications avec les vendeurs. Recourir à des experts et envisager des clauses d'exclusion partielle est également recommandé.
Pour les vendeurs, ces clauses, bien qu'elles protègent, nécessitent transparence et attention aux obligations de leurs courtiers. Ces exclusions peuvent aussi impacter le prix de vente. Elles ne protègent pas toujours contre les dommages.
En conclusion, il est primordial de collaborer étroitement avec courtiers et avocats pour naviguer efficacement ces défis. Respecter vos droits et obligations est essentiel pour conclure une transaction immobilière en toute sécurité.
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